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30 août 2009 7 30 /08 /août /2009 09:24

Juste pour vous faire sourire, en cette fin d'été et reprise qui s'annonce pour certains, ... une photo de la "devanture" du magasin local + restaurant de ventes d'oursins ! en direct du producteur-pêcheur aux consommateurs ...
Et en plus, ils sont bons.
Sur cette barque, je ne sais pas si je m'y aventurerai ... j'aime bien connaître de nouvelles sensations, mais là ? !!! ...
Bon, voilà, c'était ma petite pensée du jour, avec carte postale à l'appui.
Bien amicalement à vous.
Sosso





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29 août 2009 6 29 /08 /août /2009 15:43

Un peu plus commun que le Varan – objet d'un précédent article – mais également plus inoffensif et même un peu plus « rigolo », ici au Sénégal, on croise plusieurs fois par jour, ce joli lézard appelé localement MARGOUILLAT, mais son nom scientifique est « Agama-agama » ou « Agame des colons ».

Le Margouillat est donc présent partout, aussi bien dans la savane que dans les villages où il vit en groupe d'une dizaine d'individus avec un mâle dominant, des femelles et des jeunes.

Dans d’autres pays, comme Les Commores, les Seychelles, la Réunion, etc … le margouillat est un petit gecko, d’une taille maximum de 12 cm et de couleur vert vif, mais l’espèce présente ici au Sénégal peut atteindre 40 cm de longueur totale, sa queue 25 cm et quand même une espérance de vie de 7 années !

Comme bien souvent, Dame Nature a donné de plus belles couleurs aux mâles (bleu foncé avec tête orange / rouge / jaune, plus ou moins claire) qu’aux femelles qui sont dans les tons de gris et vert olive avec quelques taches brunes sur le dos.
De plus, les couleurs du mâle se modifient par rapport à l’environnement ou la situation, un peu comme un caméléon, et en cas de combat avec un autre mâle, sa tête peut carrément devenir brun sombre.
A noter que ces combats sont souvent très violents.

Sinon, ce Margouillat est plutôt sympathique puisqu’il se nourrit essentiellement d’insectes, et moi il m’amuse beaucoup quand il se met sur un muret ou un promontoire quelconque pour surveiller tout son territoire et qu’il se met « à faire des pompes » sur ses deux pattes avant.

Il ne me reste donc plus qu’à en « adopter » quelques uns, dans mon futur jardin, pour faire dans le joli et l’utile !
Bien amicalement à vous.
Sosso


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26 août 2009 3 26 /08 /août /2009 21:19


A l’heure où nos gentils enfants s’apprêtent à faire leurs rentrées des classes, je ne peux m’empêcher de vous parler, succinctement, de ces petits garçons ici au Sénégal, appelés « talibés ».

Chez nous en Europe, et dans beaucoup d’autres pays dits civilisés, la rentrée des classes est synonyme de « profusion de dépenses », même si depuis quelques années, on nous rabâche que le « pouvoir d’achats des ménages est restreint », que « les dépenses scolaires sont en baisse », etc, etc. …  Pauvres petits enfants scolarisés !


Ici, au Sénégal, il y a dans les rues et sur les routes, des petits garçons, complètement livrés à eux-mêmes,  âgés de 3 ans ( !!!! ) à 14 ans, qui vont nu-pieds, vêtus de guenilles sales, déchirées, et dont le seul but de leur dure journée de 10 à 15 heures, est de mendier quelques sous … mais pas pour eux !

En effet, toutes les aumônes sont destinées à des hommes adultes, les Marabout, à qui ils doivent obéissance et respect, sans broncher,  et dans un grand dénuement.

En contrepartie, ces enfants « bénéficient » d’un toit rudimentaire et reçoivent une éducation coranique accompagnée d'une initiation pratique à la vie communautaire ainsi que l'acquisition du sens de l'humilité, de la vie ascétique et de l'endurance à toutes sortes d'épreuves …
Les parents confient leurs enfants à ces Marabouts et c’est, pour ces familles défavorisées, un grand honneur que de faire pratiquer cet apprentissage de la vie !???


Je ne ferai pas le procès du pourquoi, ni du comment de cette pratique, mais la seule chose à laquelle je pense, à chaque fois que j’en croise – plusieurs dizaines par jour – c’est que le monde est vraiment mal fait et que le « bon dieu » n’est pas le même pour tous.

En ce qui me concerne, je ne leur donne jamais de monnaie sonnante et trébuchante, mais à chaque fois que je peux, je leur fournis un encas alimentaire.


Car dans le regard indéfinissable de ces enfants, il y a tout ce qu’une maman ne peut supporter ! ...


Dur ! dur ! ce petit reportage ... désolée, mais c'est aussi la vie ici au Sénégal.
Bizzzz à vous
Sosso




















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22 août 2009 6 22 /08 /août /2009 23:44

Ici, au Sénégal, la faune est riche et variée, et facilement observable : pas besoin d’être dans un parc ou une réserve pour observer de magnifiques oiseaux, ou voir traverser un groupe de singes au milieu de la route, ou également voir déguerpir un varan dans un fourré, et c’est cette espèce de reptile qui fait l’objet de ce petit texte imagé d’aujourd’hui.


J’ai pensé vous faire ce commentaire, car hier après-midi, en allant au « Domaine de Kalahari » à Saly au Sénégal, où nous faisons construire notre maison, nous en avons rencontré un qui nous est sorti d’un bosquet devant nous … et qui est parti à « plat ventre » tout affolé ! ... Il mesurait quand même aux environs d’un bon mètre, et c’était plutôt beau à le regarder s’enfuir ainsi, effrayé de nous voir qu’il était ! Il a eu plus peur que nous, finalement ...

D’autant que quand on sait que le varan (du Nil) est le plus grand lézard africain - il peut atteindre plus de 2 mètres de longueur ! - on se dit qu’on est contents de l’avoir vu s’enfuir ainsi ! ...


Car ce reptile est un carnivore « opportuniste », c'est-à-dire qu’il mange des choses très différentes selon son environnement, ce qui n’est vraiment fait pour nous rassurer ;  il lui arrive même de fouiller dans des poubelles quand il vit à proximité de l'homme.
Par contre, j'ai souvent entendu dire qu'il pouvait manger un veau ou plus, et là, je suis un peu plus perplexe car dans mes recherches, ce fait n'a vraiment pas été mentionné.
De plus, étant semi-aquatique, le varan est un très bon nageur et un adulte peut rester sous l'eau pendant plus d'une demi-heure.
En fait, il se contente donc d'insectes, de poissons, d'oiseaux, de petites proies tels que rongeurs, lesquels sont toujours proportionnels à sa taille !

Son corps est d'une couleur allant du gris foncé au noir avec des taches ou rayures jaunâtres. Les écailles
de sa peau sont petites, rondes et ne recouvrent pas les écailles voisines. Les membres sont bien développés, avec de grosses griffes, et permettent à l'animal de ne pas ramper que ce soit en marchant ou en courant.

Le varan utilise sa queue comme un organe de propulsion, étant aplatie verticalement, mais elle lui sert aussi à grimper.
Et les combats de deux mâles  se font … debouts, sur leurs queues !... J’aimerais bien voir cela un jour, car il paraît que c’est vraiment spectaculaire.


Pour terminer, j’ajouterai qu’après l’accouplement, la femelle commence à chercher un bon endroit pour pondre ses œufs : si possible, elle utilisera une termitière
qu'elle éventre avec ses griffes puissantes afin de déposer la précieuse cargaison à l'intérieur.
Les termites n'attaquent pas les œufs, au contraire, elles bouchent le trou créé par la maman-varan. De cette manière les œufs et les futurs bébés varans sont à l'abri de prédateurs.
De plus, les termitières ont une température et humidité constantes, un endroit parfait pour l'incubation d'œufs de reptiles !
S'il n'y a pas de termitière, les œufs sont déposés dans un terrier.

Ces varans peuvent pondre de 20 à 60 œufs, ou la moitié du poids total de la femelle !
Après leur naissance, les petits varans se séparent et commencent donc leur vie complètement solitaire, pendant une quinzaine d’années.


Voilà, vous savez tout ou presque sur ce bel animal, quoi qu’on en dise !
De mon côté, j’espère que je les croiserai longtemps en liberté et qu’ils pourront encore me faire sursauter souvent, juste pour le plaisir des yeux, comme toujours ! …
Solange M.





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16 août 2009 7 16 /08 /août /2009 18:05

Saison des pluies !!! également appelée " hivernage" ... ici au Sénégal, dès qu'approche le mois de Juillet, on entend les anciens résidents européens (jamais les africains) annoncer, avec une grande angoisse, la venue de ce "terrible hivernage" ...
Si on se laisse convaincre, on peut imaginer qu'un redoutable déluge va engloutir tout le pays - voire même le continent !!! - et qu'une chaleur torride achèvera de rôtir les survivants.
La vérité est beaucoup plus nuancée et rassurante, les pluies sont là de Juillet à Septembre, mais elles donnent au pays des couleurs et des lumières qu'on ne se lasse pas d'admirer.
En août - le mois le plus pluvieux - ce sont des déluges de quelques heures, avec des bourrasques de vent qui démarrent en un instant et emportent tout sur leur passage ! mais ensuite, le soleil et sa chaleur moitte reviennent et la nature se trouve tellement belle ... tellement VERTE, ce qui est proprement inhabituel dans ce pays d'habitude si sec.
En plus, tout se réchauffe : l'eau de mer est pratiquement un petit bouillon, et ne parlons pas des piscines !
Ces pluies, qui font que même mes amis les baobabs prennent du feuillage, qui défoncent les routes, qui creusent les vallons, mais attirent les moustiques et autres insectes, modifient aussi l'économie locale puisque tout pousse vraiment plus vite !
Alors, comme je pense que Dame Nature a toujours le dernier mot, laissons ces petits déluges s'abattre sur nous pendant ces quelques semaines, et profitons des images qu'elle nous offre.
Voilà pour aujourd'hui, une carte postale ... un peu humide avec le petit diaporama ci-après.
Bien amicalement à mes lectrices et lecteurs !
Solange M.



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8 août 2009 6 08 /08 /août /2009 23:15

Pour une fois, je vous envoie cette carte postale un peu différente, car c'est juste une petite vidéo d'images du "Domaine de Kalahari", à Saly au Sénégal, où nous faisons construire notre maison !
Aujourd'hui, en cette période d'hivernage - saison des pluies -, il y avait une lumière vraiment particulière (comme souvent au Sénégal d'ailleurs) et je voulais vous en faire profiter.
En plus, il ne s'agit pas du tout de photos de ma future maison, mais juste de quelques beaux endroits du Domaine, ... ceux que je vois d'ailleurs depuis ma maison !!! un vrai plaisir des yeux ...
Alors fermez-les ... c'est comme si vous y êtiez ... écoutez le calme ... sentez les odeurs ... ressentez la chaleur moite ... il vous manque juste le bruit du vent dans les hauts palmiers "rôniers" centenaires !
Et bon plaisir à vous !
A la prochaine.
Sosso



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6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 16:07

Tissu traditionnel du Mali, mais également très utilisé dans toute l’Afrique de l’Ouest, y compris le Sénégal où je vis maintenant, le BOGOLAN tire son nom des termes maliens « bogo » => boue/terre, et « lan » => fait avec.

La technique de teinture réalisée sur un tissu obligatoirement en coton est ancestrale et non datée, mais la légende veut que la découverte du procédé fut accidentelle : une femme ayant taché son pagne teint avec de la boue a essayé, en vain, de le nettoyer ; la boue avait marqué d'une manière indélébile son tissu, restait à reproduire cette réaction chimique.

A  l'origine, le bogolan avait une signification particulière en fonction des motifs représentés et des couleurs utilisées avec des codifications précises : ainsi tel motif est utilisé pour le pagne de l'épouse, tel autre pour la jeune fille, pour le néo-circoncis, pour le chasseur, pour le mariage … etc ...

A noter que l’antibiotique naturel contenu dans les feuilles de « galama » (utilisées pour la teinture) explique que les tissus bogolans sont traditionnellement portés par les jeunes circoncis !!!

 

Plusieurs ethnies perpétuent encore la technique du bogolan traditionnel : les Dogons, Les Senoufos, les Malinkés et les Bambaras.


Après le ramassage du coton, celui-ci doit être filé à l'aide d'un fuseau.
Puis vient le tissage réalisé sur un métier essentiellement par les hommes. Ils fabriquent des bandes de prés de 30 mètres de longueur sur une largeur d’à peine  10 à 12 centimètres ; ces bandes de coton seront ensuite cousues entre elles afin d'obtenir un « pagne » (tissu en grande largeur) prêt à être employé pour la fabrication de vêtements ou autres.

Les teintures traditionnelles du Bogolan sont essentiellement naturelles (noir, marron, blanc) mais certaines couleurs n'existant pas à l'état naturel, comme le bleu ou le vert, sont chimiques, ce qui permet une plus grande diversité et des modèles encore plus riches et plus variés de Bogolans.


Le principe du Bogolan est une succession, à partir du coton blanc, de trempages, de rinçages et de séchages au soleil, ce qui prend plusieurs jours et lui donne toute sa valeur.


Sur le tissu préalablement teinté, l'artiste applique alors les dessins : motifs de la vie rurale ou urbaine africaine, de la nature, ainsi que les innombrables idéogrammes et formes géométriques. Ces scènes de la vie quotidienne africaine, ces idéogrammes sont réalisés le plus souvent à main levée avec des bâtonnets, des plumes, des spatules, des brosses, etc ...
L'artiste applique alors de la boue provenant du Niger et fermentée dans une jarre, puis un lavage permet d'enlever l'excédent de boue et le séchage au soleil fixe les couleurs par réaction. L'intensité des couleurs est obtenue par la répétition des opérations, application de la boue, lavage et de nouveau séchage jusqu'à l'obtention de la couleur et du motif désirés.

Le vrai bogolan ne déteint pas et résiste très bien au lavage, mais perd un tout petit peu de son éclat à chaque fois.


De nos jours, le bogolan est utilisé dans les pays occidentaux comme tissu essentiellement décoratif, et bien évidemment, au moins l’un de mes lits, si ce n'est tous, dans ma future maison, sera orné d’un magnifique Bogolan, l’embarras du choix sera alors mon problème !

Car à chaque fois que j’en vois un, je le trouve plus beau que le précédent, et je pense systématiquement aux fabuleux artistes et aux nombres d’heures qu’il leur a fallu pour les réaliser.



Voilà, vous savez tout - ou à peu près ! - sur ce magnifique tissu qu'est le BOGOLAN, un vrai plaisir de l'oeil encore accessible !
A bientôt, cher(e)s ami(e)s pour vous parler encore de plein de choses, d'ici, d'Afrique où je vis maintenant.
Amicalement.
Sosso

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2 août 2009 7 02 /08 /août /2009 20:02

Cela fait quelques temps que je n'ai pas parlé de la suite de la construction de notre maison, ici à Saly au Sénégal, au "Domaine de Kalahari", mais c'est tout simplement parce que celle-ci suit son cours normalement  ! Rien à dire de particulier, mis à part que chaque jour, il y a des avancements, et que chaque jour on voit approcher le moment où on va enfin pouvoir y habiter, c'est à dire à la mi-octobre (pour mon anniversaire ?).
Je vous mets donc ci-après quelques photos toutes récentes, surtout des extérieurs, sachant qu'à l'intérieur, ça bouge pas mal aussi.
Vraiment nous ne regrettons pas notre choix de ce "Domaine de Kalahari" et si c'était à refaire, je refairai tout pareil.
Et si vous, chers lecteurs de hasard de ce blog, vous avez une petite envie de faire comme nous, n'hésitez pas, cet endroit est le meilleur rapport qualité-prix de la région, mais également, j'en suis certaine, le meilleur investissement que vous puissiez y faire, pour vos loisirs ou pour votre retraite comme nous.
A bientôt donc !
Bien amicalement.
Sosso

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30 juillet 2009 4 30 /07 /juillet /2009 17:34

Près de SALY, au Sénégal où j'habite maintenant, se trouve un petit village nommé TOUBAB-DIALAO situé en promontoire sur une partie vallonnée de la "Petite Côte" qu'on peut également parcourir à cheval.
Nous y sommes allés en famille, il y a quelques jours, non seulement pour se faire "plaisir du regard", mais également pour se faire plaisir au palais, car nous y avons très bien mangé, cet endroit étant vraiment charmant et très typique.
L'histoire raconte qu'El Hadj Omar Tall est passé par ce village de pêcheurs et qu'il y fit jaillir une source d'eau douce sur la plage ! 
Et au pied de l'Espace-hôtel "Sobo-Badè", objet de mon petit article aujourd'hui, se trouve le rond de pierre où Omar Tall a prié.
Cet étonnant et unique en son genre Espace-hôtel Sobo-Badè est l'exemple d'un tourisme intelligent et sensible. Son propriétaire, l'artiste Gérard Chenet (ses sculptures ornent le jardin) né à Haïti, a donné le nom d'une divinité de son pays à l'hôtel qu'il a lui-même conçu.
Situés au-dessus de la plage qu'ils surplombent, les bâtiments baroques en coquillages (superbes !!!), terres cuites et mosaïques s'intègrent parfaitement au paysage.
Diverses activités artistiques et de loisirs, telles que poterie, modelage, sculpture, batik, danse, thèâtre, musique, ... sont proposées sous forme de cours ou stages, mais également des expositions, séminaires, et autres. L'endroit s'y prête vraiment, et moi, j'ai eu envie de tout connaître et de tout faire !
Et de plus, on peut y loger dans d'adorables chambres ou suites.
Tout près du Sobo-Badè, la danseuse et chorégraphe Germaine Acogny a ouvert "Kër Aloopho" (son Ecole des Sables) - Centre international de danses traditionnelles et contemporaines africaines - où des danseurs professionnels viennent de tout le continent africain, et d'ailleurs également, pour approfondir leurs connaissances.
Voilà donc, pour ce petit mémo sur un endroit un peu particulier que j'ai beaucoup apprécié et j'ose espérer vous avoir donné envie d'y venir un jour !?
Moi j'y retournerai, je l'espère, assez souvent.
Bien amicalement à vous, mes lecteurs et lectrices !
Sosso


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27 juillet 2009 1 27 /07 /juillet /2009 17:02

Et bien voilà ! ma fille Maud et son fils Abel sont repartis chez eux à NICE, après 3 semaines de vacances ici au Sénégal auprès de nous ! Et je suis bien triste de ce grand vide ...
Il y aurait tellement de choses à dire !
Aussi, comme pour leur lancer un petit message de notre affection et de notre meilleur souvenir, je mets ci-après 3 photos d'un très joli oiseau, le GUEPIER NAIN que l'on rencontre beaucoup ici, en ce moment.
Pendant de longs moments, nous avons pu observer ce petit oiseau aux couleurs vives et toujours très actif, venir littéralement plonger dans notre piscine afin d'y gober les quelques malheureux petits insectes de la surface, mais également - on a supposé - pour tout simplement se rafraîchir !
Entre 15 heures et 17 heures, tous les jours, c'est un ballet incessant, un vrai plaisir des yeux !  ... et mon petit fils fut très vite intéressé par la beauté de l'instant ( peut-être comme sa grand-mère ? !! ...).



Voilà donc, c'était la petite carte postale du jour, un peu tristounette, mais qui j'espère vous "régalera les yeux".
Bien amicalement à vous tous.
Sosso
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21 Nov. 2008 = A l'envers des nuages, il y a toujours un ciel (proverbe africain).

26 Nov. 2008 = Les muscles des hommes politiques sont devenus plus puissants que leurs coeurs.

26 Nov. 2008 = 2ème proverbe : Les enfants sont des énigmes lumineuses !!!!
3 Déc. 2008 = L'amour est à la portée de tous, mais l'amitié est l'épreuve du coeur.
13.Déc.2008 = Le bonheur est quelque chose qu'on grignote, assis par terre, au soleil.

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2 Janvier 2009 = IMAGINE tous les gens vivant en paix ... (John Lennon).

8 Février 2009 = Au bout de la patience, il y a le ciel (proverbe africain).
8 Juin 2009 = proverbe africain qui dit : "vous (les blancs) vous avez l'heure, nous on a le temps !" ...

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